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Le ciel de l’enfance

Le ciel de l’enfance est un article que j’ai écrit sur un coucher de soleil. C’était juste avant que l’orbe jaune ardent ne se retire. Le ciel était plein de nuages ​​​​de couleurs différentes.

Là, dans le bleu et les nuages, j’ai créé mes propres tableaux. Parfois, le bleu azur et les éléments naturels environnants me fournissent un trésor d’émotions et de rappels.

Mais chacun peut y interpréter sa propre histoire.

Ainsi, dans ces extravagances colorées entrelacées, j’ai vu, par exemple, une couverture chaude, et ma sœur m’a rappelé la barbe à papa…

Toujours en accord avec ces magnifiques et prodigieuses interprétations, je suis retournée vers le passé. Voire vers mon toute petite enfance.

Et là, toujours plus de souvenirs affluaient.

Et là, j’ai créé un article tout autour des bons souvenirs.

Tout autour d’une réalité, d’un présent à améliorer.

En fait, j’ose dire que j’ai déjà commencé à l’écrire…

J’ai choisi de ne voir que de bonnes expériences là-haut, dans le ciel.

Et toi ?

Voici mon histoire :

Ciel en couleurs,
tel une toile d’un artiste.
Destin de l’instant.

Pendant que nous dînions, les nuages ​​​​à l’extérieur ont progressivement changé de tons, passant du blanc et du gris à une teinte nocturne et somnolente plumés de coucher du soleil.

Soudain, j’ai remarqué que les nuages ​​dans le ciel s’étaient éclairés en rouge-rose.

C’était comme si mon fils (qui adore peindre) avait choisi cette même peinture et balancé son pinceau sur la toile du ciel.

Et il l’avait tellement saupoudré de teintes rougeâtres, qu’il semblait que le ciel diurne avait honte de la nuit à venir.

Pourtant, la douceur restait et je me souvenais de la chaleur d’une cheminée allumée par une froide journée d’hiver.

Certains pourraient même voir de la barbe à papa dans ces délicates couches roses. Tout comme ma sœur, comme je l’ai déjà mentionné plus haut. J’avais envie d’en savourer une et de m’identifier aux moments heureux de mon enfance qui me rappelaient ce goût sucré.

Euh…

Une apostrophe à tout ce qui nous procure cette sensation chaleureuse et enfantine en ces froides journées d’hiver.

Il y avait aussi une couverture chaude, si douce, si suave. Il me semblait qu’elle me touchait légèrement, je pouvais la sentir… C’était si agréable …

Même une effleurement qui m’a transporté vers de doux rêves. Là, j’étais surtout moi-même, osant souvent parler, chanter, sans me sentir gênée ni curieuse. Ou du moins en aucun cas effrontée et arrogante…

Comme si en disant quelque chose je risquais de commettre un crime.

Enfin bref, parfois les rêves me guérissaient, m’aidaient.

Ils m’ont fait me sentir libre et léger comme une plume. Je n’avais plus les fardeaux que je portais sur moi. Ni les boules qui sont restées coincées dans ma gorge. Je n’avais non plus l’anxiété qui m’envahissait chaque fois que j’étais dans une situation inconfortable.

Et j’admets qu’il y en avait beaucoup… J’avais rarement besoin de me cacher lorsque j’étais seule avec moi-même ou avec mes meilleurs amis.

Cependant, les humains sont des créatures sociales et il n’est pas rare de communiquer avec d’autres personnes. De rencontrer et de voir d’autres personnes…

Parfois, j’en avais des frissons… Cette peur d’être moi-même m’a souvent hantée plus tard dans la vie.

Même là, dans mon enfance, étant souvent moi-même et faisant ce que j’aimais parce que je ne connaissais rien d’autre, les insultes qui m’ont coûté cela m’ont lentement et progressivement entraîné dans le monde de l’inauthenticité et de la perte de ma véritable identité.

Hé, je suppose que je n’ai dit que de bons souvenirs… 🙂

Oui, l’enfance c’est le bonheur, les jeux, les rires, gaieté, joie pure et sans mélange.

Petite enfance – où nous voulons nous amuser et jouer et où rien d’autre n’existe. Où, les yeux ouverts sur le grand monde, vous voulez comprendre toute la vérité sur ce monde.

Votre grande curiosité vous rend impatient et vous avez envie et désir de plus, de savoir, de pouvoir… Il vous semble que vous pouvez conquérir le monde, en construire un nouveau, un meilleur.

Vous êtes le monde entier – vous êtes tout.

Vous êtes tout ce que vous pensez être et croyez que vous pouvez réaliser et devenir tout ce que vous désirez. En fait, vous rêvez presque constamment et vous ne pensez même pas à vous arrêter.

En tant qu’enfant, vous apprenez vite, vous êtes très curieux et vous posez tout le temps des questions comme pourquoi, comment et qu’est-ce que c’est.

Vous voulez comprendre tout ce qui se passe autour de vous et vous apprenez des informations si facilement et rapidement.

C’est formidable d’être un enfant et d’avoir la chance d’apprendre et de grandir.

Certainement les enfants inspirent, eux-même, nous, les adultes.

Aujourd’hui, je vois tout cela chez mon fils aîné. Le même enthousiasme, la même aisance que j’avais.

Je ferai donc attention à ne pas négliger ces caractéristiques. J’ai l’intention de les tolérer et de les guider.

Le monde a besoin de facilité, confiance, curiosité. De pouvoir que nous pouvons le changer.

Le monde a besoin de rêves et de gens qui rêvent grand.…

Et ces caractéristiques sont surtout chez les enfants – en majorité et en abondanc.

Je prends exemple sur eux, j’essaie de capter leur aisance, leur curiosité, leur courage, leur envie de changer et d’évoluier chaque jour.

C’est le moment, me dis-je, maintenant ou jamais… Ils grandissent, c’est le moment… Maintenant ou jamais…

Que de choses ce coucher de soleil m’a dit. Cela m’a rappelé tellement de bonnes choses… J’aurais aimé pouvoir encore rester comme ça et profiter de la vue.

C’est pour ça que je me suis mise à écrire. Les mots sont une suite, les mots sont cohérence, les mots restent, les mots sont éternels…

Les mots prennent vie et me font sympathiser avec eux. Je crois aux mots… En leur puissance, en l’ampleur de l’humanité qu’ils peuvent inculquer… Même chez leur créateur.

Là, dans le ciel de l’enfance, j’ai continué à voir la beauté de son âme – l’âme de l’enfant. Juste d’être. D’être authentique, décontractée, courageuse, curieuse.

Croire que ju peux vaincre le monde par toute bonté. Et le méchant sera perdant. J’ai aussi vu que rien d’autre n’avait d’importance, seulement le moment présent…

Merci de m’avoir lu jusqu’au bout et à bientôt !

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Commentaires

9 janvier 2024 à 6h43

Ce matin, je me suis réveillé en me demandant si je pouvais retrouver ce bonheur que je ressentais à mon réveil en étant enfant. Je me suis demandé si un adulte pouvait ressentir la même joie et la même envie de découverte et de curiosité en se levant le matin. Et je suis tombé sur cet article rafraîchissant qui m’a rappelé quand je regardais le ciel, un soir d’été de mon enfance. Et que finalement, le bonheur peut-être aussi simple que de se souvenir d’un beau ciel rose en été. Merci, de m’avoir redonné du baume au cœur 🙂



    9 janvier 2024 à 7h12

    Tellement sympa que mon article ait fait ça pour toi, Renan ! Revenir à l’enfant qui est en moi est probablement la chose la plus agréable qui me soit arrivée dans ma vie !



16 janvier 2024 à 10h21

Votre article « Le ciel de l’enfance » sur Blog Sur Le Bonheur est une magnifique méditation sur les souvenirs et les sensations de l’enfance. La façon dont vous décrivez le coucher de soleil et les nuages colorés, évoquant des souvenirs chaleureux et enfantins, est poétique et émouvante. Votre réflexion sur la façon dont ces souvenirs influencent votre perception du monde et votre approche de la parentalité est profonde et inspirante. C’est un bel exemple de la manière dont les expériences de l’enfance peuvent enrichir notre vie adulte. Merci de partager ces pensées et ces souvenirs si personnels et touchants.



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