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Lâcher-prise dans la nature

Aujourd’hui, je vais vous raconter comment j’ai pu lâcher-prise dans la nature. Car c’était l’une des rares aventures que l’on s’autorise ici dans la chaleur torride du mois d’août est le chaud été de juillet…

Je poétiserai l’instant là-bas, je vais vous toucher avec la magie que nous a offerte la nature.

Je vais donc vous embrasser avec une sérénité qui nous encourage à y retourner encore et encore.

Je ne serai pas verbeux. Juste des touches, des rappels qui m’y ramèneraient à chaque fois que j’ouvrirais cet article et me plongerais dans la mémoire de cette époque.

Parce que, je l’avoue, en ce moment, j’arrive rarement à trouver des moments pour m’arracher à la bataille de l’auto-accusation, de l’auto-torture, aux difficultés que je traverse en tant qu’être hypersensible.

Tous ces moments négatifs continuent, mais je n’abandonne pas sur le chemin vers mon bonheur, mon calme, ma paix, auxquels j’aspire…

Et la nature est clairement ma compagne jusqu’au bout, et elle continue d’agrémenter mes journées de délice, d’humeur. Elle me guérit dans tous les cas !

Lâcher-prise dans la nature par un haîku

Je vais commencer par un haïku évocateur :

Là, pure et divine,

nous accueillant sereinement,

La sublime nature.

Lâcher-prise dans la nature à travers un poème

Je continuerai avec un poème qui décrit bien nos progrès depuis nos premiers pas jusqu’à nos dernières tentatives. Afin de préserver notre tradition que nous voulons perpétuer pour toujours.

Le voilà :

Là, au bord de la rivière,
à chaque fois plus courageux,
à chaque fois plus curieux,
à chaque fois plus impatients qu’avant,
en pleine possession de la liberté,
en pleine possession de la nature,
là, où manquaient les murs qui nous rendaient prisonnier,
âme d’enfant, âme de l’enfant,
toutes à la fois, apprenant,
en toute quiétude, en pleine sérénité,
dans un paix parfait,
de tout notre coeur,
sur la vie, sur la vraie vie,
on apprenait le pur bonheur
Et expérimentait la véritable joie !

Des sublimes moments de lâcher-prise dans la nature

Un texte qui raconte des expériences fréquentes vécues là-bas :

Là, au bord de la rivière, nous comptions combien de libellules nous croisaient, survolaient au-dessus de l’eau ou se posaient sur les brins d’herbe qui nous entouraient.

Là au bord de la rivière, nous ramassions des cailloux et aimions les jeter dedans, regardant la magie d’une pluie de petites goutes retombant dans l’espace liquide poussée par nos galets.

Là, au bord de la rivière, nous adorions écouter le doux bruit du vent faisant chanter les feuilles des arbres – une chanson qui guérissait nos cœurs.

Là, au bord de la rivière, nous voyions parfois des grenouilles sursauter en nous voyant et sauter à nouveau dans l’eau, se cachant habilement à notre vue.

Là, au bord de la rivière, on regardait le courant, parfois fort, descendre jusqu’au barrage.

Là, au bord de la rivière, on parlait souvent du pic qui menait à la forêt, un espace que nous n’avions pas encore entièrement exploré ensemble.

Là, au bord de la rivière, nous recueillions des souvenirs à raconter avec tendresse à l’avenir.

Progrès et conclusions

Progrès et conclusions auxquelles je suis parvenue :

Je me suis récemment rendue compte qu’en bonne compagnie, il est beaucoup plus facile de se rendre à l’endroit en question. Et que bien accompagnés nous nous sentions plus à l’aise et plus agréables à partager de beaux et inoubliables moments en pleine nature.

Même les mûres au-dessus de la rivière nous accueillent et nous rappellent à quel point chaque créature et élément naturel est précieux. Et comme nous devons être bienveillants et bien intentionnés envers elle !

J’ai commencé cette histoire il y a un moment… et pour tout vous dire, nous avons fait beaucoup de progrès.

Nous sommes déjà entrés dans la forêt elle-même, avons escaladé cette colline en question, trouvé des glands, apprécié une rangée de fourmis, marché pieds nus sur le chemin pierreux et sablonneux, enfouissant nos pieds dans le sable. Idylle …

Ce qui a suivi – réticence à rentrer à la maison. Nous avons tellement aimé cet endroit que notre maison ne nous a pas incités à y aller. Nous étions assis confortablement sur un rocher ou dans le sable et n’avions pas envie de bouger.

Le temps s’était arrêté, tout autour s’était figé dans un doux conte de fées. Le bruit du vent qui fait bouger les branches des arbres autour de nous et fait tinter leurs feuilles. Nous pouvions entendre des chants d’oiseaux.

Les lézards retournèrent rapidement dans l’herbe, effrayés par notre discours. Des criquets bloquaient notre chemin et bondissaient timidement devant. Tout était en place, nous aussi…

Deux réflexions sur lâcher-prise dans la nature

Je terminerai par deux réflexions qui résume mon éveil, qui fait réfléchir, qui provoque…

Là au bord de la rivière, dans un monde de temps pressé, de rêves perdus et d’instants manqués, nous décidons de ralentir, de créer nos rêves avec du sable et de remplir nos instants de sourires d’enfants et d’humilité.

On ne s’arrête pas là où on est bien émerveillé par la magie… On poursuit et ne cesse pas d’admirer le moment.

Merci de m’avoir lu jusqu’au bout et à bientôt !

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Commentaires

Rahner Carpel
28 août 2023 à 19h20

Effectivement je m’y voyais, là, au bord de la rivière. J’y percevais tes mots, et vivais mon expérience solitaire ; et pourtant; j’étais en communion avec la Nature !

Merci pour cet article Genka 🙂

A très bientôt,

Rahner.



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