La vie est trop courte pour vivre mal
Jour ’32‘
Aujourd’hui je vais me permettre de mélanger les deux défis auxquels je suis confrontée depuis début mars, histoire de montrer qu’ils me procurent tous les deux du bonheur. Ce sera donc mon petit bonheur de ce jour dans le deuxième défi, que j’ai aussi associé au premier.
Alors, j’ai écrit un poème consacré à la courte vie de l’homme, mais à un prix inestimable, ici sur terre. J’associe ce fait à la beauté éphémère du cerisier de Japon, dont les fleurs meurent très rapidement.
Hier j’ai publié un article sur cet arbre, où j’explique à quel point je l’aime et que c’est un plaisir de l’admirer en ce moment. C’est ainsi que ces arbres sont maintenant devenus une muse pour mon expression poétique, à laquelle j’ai ajouté quelques réflexions sur mon idée et l’intention que j’ai eu pour le poème.
Dans mon article je vais vous expliquer pourquoi je choisis de bien vivre, sachant que la vie humaine est courte et que je n’ai pas le temps de faire le contraire, c’est à dire de vivre mal. C’est ici !
Vie éphémère
Il n’y a que le silence qui existe dans l’atmosphère,
Et ce ne sont que les circonstances
Qui changent la conscience.
Êtant en paix dans nos relations
Et irréprochable dans nos actions
Changera notre solitude et nous fera profiter de chaque instant
Nous devons juste nous sentir reconnaissants,
Une seule vie nous a été donnée,
Et donc, mes chéris – Vivons !
Sans demander à personne pourquoi et comment,
Demandons simplement à notre cœur !
Parce que nous ne pourrons jamais ramener ces moments,
Et le temps ne reviendra jamais.
(J’ajoute une petite référence aux arbres qui sont « ma muse » aujourd’hui 🙂 )
Oh, vous belles fleurs délicates,
Enfants innocents du cerisier du Japon,
Laissant une empreinte dans mon âme,
Merci de m’avoir fait réaliser à nouveau,
Que la vie n’est qu’un instant,
Dont il faut profiter au maximum,
Ah, comme je t’apprécie encore plus maintenant !
Mon idée et mes pensées sur ce poème
Je sais que mon esprit doit être clair, bien intentionné et calme. J’associe le « silence » du premier couplet à ma conscience. Bien souvent des facteurs extérieurs pèsent sur l’harmonie qui doit y régner, alors tout est rompu. Les pensées noires négatives envahissent, détruisant sa bonne santé et son fonctionnement.
Souvent, tout cela se produit parce que je le permets, et non parce que des facteurs externes peuvent me changer avec force. Par conséquent, c’est moi qui dois changer mon attitude à leur égard afin qu’ils n’aient pas cet effet destructeur sur moi. Et il arrive aussi souvent qu’aucune de ces circonstances extérieures n’aient quelque chose à voir avec moi. Et ils ne s’adressent presque jamais à moi suffisamment personnellement pour que je les prenne ainsi.
Ayant une idée claire de ce que je veux de la vie, chacun de mes pas commence à aller dans la bonne direction, confiante que je donne le meilleur de moi-même sans violer la liberté personnelle des autres.
Je suis la seule à pouvoir contrôler mon comportement et mes réactions envers les autres. Si quelque chose ne va pas, j’apprends une leçon et la prochaine fois que je me trouverai dans une telle situation, je retiendrai la leçon apprise.
Ce que j’essaie de faire pour améliorer ma vie
J’essaie de changer ma façon de percevoir le monde qui m’entoure. Je dois respecter la vie privée des autres, mais je dois aussi valoriser la mienne. J’essaie de comprendre que les gens sont comme ils sont, réalisant que je n’ai pas la force de les changer. Je ne peux influencer que mes propres pensées et actions.
Alors je travaille sur ce que j’aime et fais, réalisant que c’est tout ce que je peux contrôler. Mon monde est le reflet de mes pensées, c’est-à-dire que je ne devrais pas avoir l’illusion que quelqu’un d’autre peut créer la vie dont je rêve.
Toute ma vie, je dois me demander ce que je veux, ce dont je rêve et ce que j’ai envie de réalise. Et je suis la seule à connaître la réponse.
Très souvent dans ma vie, je me suis demandée comment les autres aimeraient que je vive, ce qu’ils veulent que je fasse et comment ils aimeraient que je réagisse.
Je suis déjà à cette étape de ma vie appelée « changement constructif et positif ». Alors c’est moi qui pose des questions comme qui je veux être et ce que j’aimerais accomplir dans cette vie. J’essaie d’aimer et de respecter ce dont j’ai besoin, et même de créer mon propre confort intérieur. En plus, je vais de mieux en mieux.
Je respecte également les opinions et les critiques constructives des autres, sachant que cela me fait construire et me développe pour le mieux.
À un moment donné de mon cycle de vie, lorsqu’il sera trop tard pour saisir l’opportunité de changer et de corriger ces moments, le monde extérieur ne viendra pas me dire : « Bravo ! Tu as suivi nos règles ! Tu mérites donc une récompense ! « Je serai seule avec moi-même et le seul juge qui réprimandera ou approuvera mes actions sera moi.
Mais il sera trop tard pour les faire changer.
Il est temps de faire un changement
Par conséquent, ce changement doit se produire dès que possible.
Notre temps ici sur terre est trop court pour le gaspiller sur des choses qui n’en valent pas la peine. Si nous réalisons cela et commençons à trier ce qui vaut la peine et ce qui ne l’est pas, nos vies deviennent plus significatives et plus belles. Nous devons nous débarrasser du négatif et accumuler uniquement le positif dans la vie.
Chaque jour, nous devons essayer de trouver une raison importante pour vivre ce bref moment terrestre. Cela peut être juste le fait que notre vie n’est qu’une et que ça doit être notre vie !
Si nous trouvons un sens à notre existence, il nous sera plus facile de nous battre, d’atteindre nos objectifs et de partager notre bonheur avec les autres.
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