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Changer de vie pour aller mieux

Aujourd’hui, je vais vous parler de comment j’ai pu changer de vie pour donner un sens à mes journées. Au fait, je participe à l’événement interblogueurs “ Changer de vie pour aller mieux” du blog FRIC AU FEMININ. J’aime beaucoup ce blog et mon article préféré est : Investir en soi : 10 astuces pour une vie réussie .

Il fut un temps où je suis tombée dans un trou dont je pensais ne jamais sortir. Cela a duré longtemps. Les jours ont passé désespérément. Je ne m’attendais à aucun changement.

Peu à peu, j’ai complètement abandonné le chemin de ma vie et je n’ai pas cherché de meilleur. J’ai renoncé à créer de la qualité dans mes journées et ainsi donner du sens à mon quotidien.

Je n’acceptais pas que toute cette obscurité à laquelle je m’accrochais puisse changer. Changer de vie ne signifiait rien pour moi.

J’ai survécu chaque jour, comme si je sortais parfois de ce trou pour reprendre mon souffle et y retourner.

D’ailleurs, il était clair que j’étais à l’étroit et mal à l’aise là-bas. Et il n’y avait même pas assez d’air pour respirer.

En fait j’ai fait semblant que là, à l’intérieur, je me sentais très confortable et à l’aise. Je me suis mentie comme ça, à moi-même, à personne d’autre.

J’avais choisi de rester là, rassemblant toutes mes pensées. Créant toutes sortes d’histoires que même les films les plus rentables au monde pourraient ne pas être en mesure de transmettre avec leurs intrigues parfaites. Ce qui m’a fait sentir encore plus que je ne méritais pas de vivre ici.

Ma vie quotidienne est passée parce qu’elle devait passer, pas parce que je le voulais. J’en étais venue à croire en ma propre conviction que je ne méritais pas ma place en dehors de ce trou.

Et là, dans le trou, sans personne pour me montrer qu’il y avait de la lumière dehors à part le souffle salvateur que j’ai pris de temps en temps. J’ai pensé que ce serait pour toujours. Oui, mais pas tout à fait.

Des mains se sont tendues vers moi, quelques mains, peu nombreuses mais précieuses. Et peu à peu le désir de vivre a commencé à grandir. Des envies sont apparues, je voulais me sentir utile.

Je voulais ressentir de la joie, je voulais avoir des moments lumineux. Je voulais être libre et profiter de pensées saines. Ces mêmes mains tendues l’ont motivé à se produire.

Et Dieu merci, petit à petit, le changement a commencé à se produire.

À l’époque, ma pensée était semblable à celle-ci : puis-je changer le monde autour de moi ? J’ai essayé de lire ce qu’il y avait dehors, de trouver des signes, mais n’ai pas essayé de lire ce qui était écrit en moi.

Donc, j’ai accordé beaucoup plus d’attention au monde extérieur qu’à ce que je pouvais faire de moi-même. Je créais des scénarios qui se produiraient si quelque chose se produisait en dehors de moi. Encore une fois, ça venait toujours de l’extérieur.

Et ce changement auquel j’aspirais – un changement de personnes, de situations, d’environnement, situé au-delà de mon contrôle personnel, ne pouvait donc pas aririver dans ma vie. Par conséquent, je n’ai pas du tout pensé à changer de vie d’une autre manière.

En fait, je voulais déplacer la montagne avec des forces que je n’avais pas au lieu de travailler sur les forces que je possédais. Un travail sur moi-même dont j’avais besoin pour surmonter mes intentions excessives qui dépassaient mes capacités.

Mais heureusement, avec l’aide des gens autour de moi, j’ai pu croire que le changement pouvait se produire. D’ailleurs, je n’avais pas le pouvoir de changer les gens, les expériences passées ou même l’environnement dans lequel je me trouvais.

Je ne pouvais pas changer les circonstances extérieures, à un stade où je me sentirais mal n’importe où, avec n’importe qui en dehors de mes proches. Au fait, je n’avais pas de machine à remonter le temps pour revenir en arrière et changer les situations passées.

Et qu’avant tout, ce changement en question donc doit venir de moi.

Que puis-je faire de moi-même à partir de maintenant. À quoi devrait ressembler mon ‘aujourd’hui’ à compter de l’instant présent. Quel genre de journée est-ce que je choisis d’avoir – vécue dans des pensées constantes du passé ou engagée dans le moment présent, en étant pleinement l’acteur de mes actions.

Le problème n’était pas lié à une situation ou à une circonstance extérieure. Le problème n’était pas quelqu’un ou quelque chose en dehors de moi, mais était à l’intérieur de moi. Je devais résoudre le problème avec moi-même une fois pour toutes.

C’est moi qui ai dû transformer mes pensées et les faire pousser en bonne qualité tout en créant mon propre jardin. Arrosées et entretenues entièrement par mes soins.

Là, je planterai mes fleurs, celles que je veux personnellement dans mon jardin. Je veux choisir moi-même les couleurs, ainsi que les parfums. Je dois aussi tenir compte de leurs tailles – grandes ou petites. Et chaque jour je les désherberai.

Parce qu’ils vont essayer, oui. Ça c’est sûr. Ils voudront grandir, ramper à travers mes fleurs. Les mauvaises herbes. Mais je vais les désherber strictement. Je vais essayer de l’entretenir, de le garder et de l’arroser – celui-là même – mon jardin.

En prenant soin de lui, de cette manière je prendrai également soin de mes pensées. Je vais les cultiver dans l’environnement souhaité et nécessaire. Je choisis de le réorganiser comme je l’entends.

C’était comme si j’avais besoin d’un ouragan pour balayer tout le mal/nocif/négatif et semer une oasis où même dans des situations moins bonnes je pourrais maintenir la productivité/positivité/beauté de mes pensées. Cultiver un esprit de qualité au détriment de l’esprit destructeur qui me ruinait depuis un certain temps à cette époque.

J’avais besoin d’un feu pour brûler les ténèbres de mes pensées et celles qui m’écrasaient encore plus. Et puis, de nouvelles, claires, ensoleillées renaîtraient de ses cendres.

Ou peut-être que j’avais juste besoin d’un peu de pluie pour laver tout ce bazar dans ma tête et nettoyer mon esprit. Pour laisser passer le froid et inviter le printemps de mon mental.

Ainsi, chaque fois que quelque chose en moi mourait, il pouvait renaître à nouveau. Je me réveillerai avec une envie effrénée de vivre chaque matin le moment où j’ouvrirai les yeux.

Donc, j’avais besoin de ce printemps de mes pensées pour qu’elles soient toujours prêtes à renaître, à se purifier, à se rafraîchir.

Et je croyais intuitivement, que changer de vie était possible.

Donc petit à petit j’ai commencé à travailler sur moi-même. Sur les choses que je pensais n’allaient pas bien.

Des livres de développement personnel, se concentrer sur des choses qui ont été productives pour moi, faire du sport, créer le blog sur le bonneur… Tout cela a contribué, et contribue encore à la magie qui m’arrive au quotidien, chaque jour. Grâce à laquelle je nais quotidiennement une nouvelle personne, prête aux changements, ouverte à de nouvelles expériences, désireuse de poursuivre ses rêves. Et surtout essayant d’évoluer vers une meilleure version de moi-même.

Pour être une meilleure personne, mère, épouse, fille, sœur, parente, amie, HUMAINE…

J’avoue que l’étape la plus audacieuse, la plus importante et la plus essentielle pour changer de vie a été de créer mon blog. Où en écrivant je me changeais tous les jours.

Chaque publication qui est sorti de mes mains était mon enfant que j’ai élevé et dont j’ai pris soins pour grandir avec un meilleur développement personnel.

Ce blog m’a montré qu’une personne n’était pas son passé. Elle est ce qu’elle voulait faire d’elle-même à partir de maintenant. Elle était ce qu’elle montrait aujourd’hui, comment elle voulait communiquer, et dont les actions sont désormais importantes.

Prenant soin de me connaître et de repasser le chemin de ma vie, j’ai commencé à m’accepter et à faire ressortir l’amour d’où il avait été longtemps caché. J’ai permis au changement de commencer à partir de mon cœur, d’agir avec mon cœur. Un cœur qui ne changerait jamais – mais qui pourrait saigner, rire, se rétrécir dans sa coquille et ne plus vouloir travailler pour moi.

J’ai décidé de ne pas enfouir mes sentiments dans le sol et d’en accepter chacun à bras ouverts. J’ai décidé d’être moi-même, malgré les égratignures sur moi-même.

De plus, j’ai décidé d’oser rêver malgré les blessures qui saignaient encore. J’ai osé changer mon état d’esprit envers de développement pour arrêter de chercher une excuse pour ne rien faire. Ainsi, pour chercher la preuve que je suis nulle.

Une autre étape importante de ma vie qui a énormément contribué à la réalisation du changement a été le bohneur de fonder ma propre famille.

La naissance de mon premier enfant puis de mon deuxième fils a fait de moi la personne que j’avais le plus besoin d’être.

Les difficultés que je traverse au quotidien m’ouvrent une opportunité de changement, de transformation dont j’avais besoin.

Le blog et ma famille sont les deux points qui s’entremêlent très bien dans ma vraie vie. Pour réaliser mon désir de changer de vie. Donner un sens à mes journées, les deux me donnent constamment l’occasion d’agir. Une action qui me pousse à changer quotidiennement.

Par conséquent, je peux dire avec confiance que j’ai réussi à changer de vie pour aller mieux.

Je conclus en paraphrasant et en poétisant quelques éléments importants de mon article d’aujourd’hui.

Soyez l’ouragan qui balayera votre noirceur. Faites le feu qui dévastera votre négativité. Osez vous transformer en eau pour vous purifier de la morosité de vos pensées. Devenez la magie qui réalisera tous vos rêves. Transformez-vous enfin en rocher qui résistera aux coups du destin ! Donnez-vous une chance que tout cela puisse vous arriver et croyez en vous !

Merci de m’avoir lu jusqu’au bout et à bientôt !

Si l’article vous a plu, je vous recommande de vous abonner à mon blog pour continuer à recevoir des articles de qualité 🙂 !