Un joli coucher de soleil à la campagne. Jour 8.
Ici, dans un petit village comme le nôtre, on pourrait probablement penser que les journées se déroulent de manière très monotone. Et parfois, elles étaient même assez ennuyeuses.
En fait, cela est le cas de temps en temps. Mais chaque jour, je suis heureuse, voire très heureuse, de découvrir avec mes deux jeunes fils quelque chose qui va tous nous impressionner.
Mon désir, comme peut-être celui de la plupart des mères, est de pouvoir rire et jouer à sa guise et librement – c’est l’été après tout ! Qu’on passe du temps dehors autant que possible. Même si parfois cela ne se passe pas exactement comme ça.
Pourtant, nous découvrons presque quotidiennement de nouvelles options pour nous amuser. On diversifie ici nos journées malgré des choix extrêmement limités à première vue.
C’est pourquoi je suis reconnaissante qu’un défi similaire que j’ai entrepris récemment se révèle, dans une certaine mesure, comme un catalyseur pour encore plus d’observation de ma part. Pour encore plus d’engagement et des efforts de ma part pour assurer du bonheur et des émotions positives au moins une fois par jour.
Au moins 🙂 .
Atteindre un état d’éveil qui ne recherche pas d’autres moments pour se sentir mieux ou pire, mais qui est satisfaite, contente et épanouie à ce moment précis.
Au présent – le seul moment qui existe.
À l’ici et maintenant.
Ainsi, au cours de cette journée, nous avons vécu de nombreuses émotions positives dans la nature. Encore une fois dans les rues qui sortaient déjà de notre village et qui nous font contempler un si beau coucher de soleil.
Parfois, cela vaut la peine de jouer dans des endroits où la vue est unique. Et voir que le jour se termine de cette magestueuse et incroayable manière.
C’est une belle fin de journée, non?
Rien de plus.
Voici un poème que j’ai écrit lors de notre randonnée ce jour-là :
Dans le chaud de l’horizon,
quelques pas résonnent.
Une journée à la campagne touche à sa fin
dans le brouhaha de l’esprit aventureux.
Un petit espace lumineux
se dessine désormais timidement.
Dès que les derniers rayons s’échappent,
nos yeux picotent,
mais reprennent audace.
Là, au bord de l’horizon,
quelques ombres se détachent.
Les yeux se tournèrent vers l’infini
de cet espace miraculeux.
Dans la finalité de cette lueur,
quelques âmes se réjouissent.
Là, le contemplant silencieux,
décelant ces mots d’éternité.
À la tombée de la nuit,
certains rêves restent inaccomplis.
Là, tout près de nos cœurs,
une pâle lumière les garde à jamais.
C’était un moment merveilleux pour moi !
Et quel était le vôtre ?
Merci de m’avoir lu jusqu’au bout et à bientôt !
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